Le témoignage du Dr Mary Davoren au tribunal suggère que les problèmes de santé mentale de Patrick McDonagh proviennent de la toxicomanie plutôt que de la schizophrénie, modifiant ainsi l'orientation de son procès pour meurtre.
Un homme accusé du meurtre de son voisin à coups de machette serait confronté à des problèmes de santé mentale davantage liés à la toxicomanie qu'à la schizophrénie, selon un psychiatre légiste consultant. Patrick McDonagh a plaidé non coupable de meurtre mais coupable d'homicide involontaire. Son cas diffère de celui du professeur Patricia Casey, qui affirmait que la responsabilité de McDonagh dans le meurtre avait été considérablement réduite en raison de symptômes aigus de psychose dus à la schizophrénie.
February 01, 2024
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