Les chercheurs de l'Université Monash ont découvert une méthode permettant de reprogrammer les cellules défectueuses des patients atteints de lupus à l'aide de molécules protectrices d'individus en bonne santé, offrant ainsi un traitement potentiel contre le lupus et d'autres maladies auto-immunes.
Des chercheurs de l'Université Monash ont découvert une méthode permettant de reprogrammer les cellules défectueuses chez les patients atteints de lupus en utilisant des molécules protectrices provenant d'individus en bonne santé. Cette avancée laisse espérer un traitement efficace à long terme du lupus, une maladie auto-immune débilitante sans remède et avec des options de traitement limitées. Bien que testée sur des cellules humaines, les chercheurs pensent que la méthode peut également être appliquée pour traiter d'autres maladies auto-immunes telles que le diabète, la polyarthrite rhumatoïde et la sclérose en plaques.
February 06, 2024
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