Les utilisateurs d'antidépresseurs SSRI sont exposés à une vulnérabilité accrue à la chaleur en raison de l'influence de l'hypothalamus sur la régulation de la température.
Les messages viraux sur les médias sociaux ont mis en évidence un effet secondaire moins connu des ISRS (Inhibiteurs sélectifs de recaptage de la sérotonine), un médicament antidépresseur courant : une vulnérabilité accrue à la chaleur. Cet effet secondaire peut découler de l'impact de l'ISRS sur l'hypothalamus, une structure cérébrale qui influence la régulation de la température, entraînant soit une transpiration excessive, soit une transpiration réduite, ce qui peut entraîner une déshydratation et une augmentation de la température corporelle, mettant les utilisateurs en danger d'épuisement thermique et de coup de chaleur. Bien que la recherche soit en cours, il est crucial que les professionnels de la santé discutent de cet effet secondaire avec les patients pour les aider à gérer les risques potentiels liés à la chaleur.