La Nouvelle-Zélande prolonge de quatre ans les délais de remise en état des bâtiments sujets aux tremblements de terre.
Le Gouvernement néo-zélandais avance un projet de loi visant à clarifier les systèmes de gestion des risques sismiques et à prolonger les délais de remise en état des bâtiments sujets aux tremblements de terre. Le ministre Chris Penk cite plus de 5 000 bâtiments non assainis en raison de mesures d'observation complexes et coûteuses. Le projet de loi portant modification du projet de loi sur les bâtiments (bâtiment exposé aux tremblements de terre et autres questions) prolonge les délais de remise en état de quatre ans, avec possibilité de prolongation supplémentaire de deux ans. L'objectif est d'équilibrer sécurité et praticabilité tout en gérant les risques sismiques.