Les hommes sont moins susceptibles de lire des romans en raison de la socialisation, des modèles et de la pression sur la productivité.
Il se peut que les hommes ne lisent pas autant les romans que les femmes en raison du manque de socialisation dans la lecture, de l'absence de modèles de lecture parmi d'autres hommes et de la pression internalisée pour qu'ils soient « productifs » plutôt que de vivre passivement la vie d'autrui à travers la fiction. Les romans offrent une exposition à la variété des expériences humaines et peuvent aider les individus à se sentir plus libres de créer leur propre chemin dans la vie. L'auteur suggère qu'au lieu de se concentrer sur la productivité, les gens devraient essayer d'être silencieux et réfléchis, ce qui peut être réalisé en s'immergeant dans la vie des autres en lisant un roman.