3 journalistes marocains graciés, appel à la libération des "prisonniers de conscience" et nouvelle phase pour les droits et libertés au Maroc.
Trois journalistes marocains libérés des grâces royales appellent à la libération de tous les "prisonniers de conscience" et à une nouvelle phase pour les droits et libertés au Maroc. Omar Radi, Soulaimane Raissouni et Taoufik Bouachrine, détenus pour des accusations qu'ils nient, y compris les agressions sexuelles et l'espionnage, ont été graciés en juillet avec d'autres personnes à l'occasion du 25e anniversaire du roi Mohammed VI. Les journalistes demandent instamment la libération de tous les prisonniers politiques et voient leur propre libération comme une nouvelle étape possible dans la politique, le journalisme, les droits de l'homme et les luttes sociales.