117 millions d'hectares dans 25 % de l'Europe, y compris le Royaume-Uni, la France, l'Espagne et les pays scandinaves, sont adaptés à la reprise, avec des stratégies passives ou actives en fonction des espèces locales.
25 % de l'Europe, soit 117 millions d'hectares, peut être régénéré, avec 70 % de ces possibilités dans des climats plus froids. L'étude suggère que des pays comme le Royaume-Uni, la France, l'Espagne et les pays scandinaves peuvent adopter des stratégies de sauvetage dans leurs efforts de conservation. Le rétablissement passif, qui permet la recolonisation naturelle des animaux, est préférable pour les régions où les herbivores et les carnivores sont abondants, tandis que le rétablissement actif, qui implique la réintroduction d'espèces manquantes, est nécessaire dans les régions sans ces espèces clés. Les chercheurs soulignent que le temps est crucial en raison des impacts du changement climatique.