15 000 jeunes ayant subi des blessures auto-infligées ont été traités dans des ED; 25 % ont été revisités dans les 90 jours, ce qui indique le potentiel d'interventions basées sur les ED.
15 000 jeunes ayant subi des blessures auto-infligées ont été traités dans les services d'urgence. Dans les 90 jours qui ont précédé/après une blessure, 25 % des patients ont consulté les services de DE, ce qui suggère des possibilités d'interventions fondées sur les DE, comme le dépistage du risque de suicide, la planification de l'innocuité et l'établissement d'un lien entre les patients et les services. La mise en oeuvre de ces interventions dans n'importe quel DE, peu importe les ressources en santé mentale pédiatrique, peut avoir un impact salutaire. L'accès limité à la santé mentale, particulièrement dans les collectivités rurales et les collectivités assurées par l'État, peut favoriser une plus grande utilisation des DE chez les jeunes.