Le NDIS a critiqué l'absence de lignes directrices protégeant les travailleurs aidant les prédateurs sexuels dans le soutien communautaire.
Le National Disability Insurance Scheme (NDIS) de l'Australie est critiqué pour n'avoir pas protégé les travailleurs qui aident les prédateurs sexuels et les délinquants violents bénéficiant d'un soutien communautaire. Les demandes de liberté d'information ne révèlent pas de lignes directrices ou de règlements pour gérer les risques liés à la prestation de soins aux délinquants connus, qui ont parfois besoin d'une surveillance 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Tant l'administration que les organes de réglementation du NDIS n'ont pas la responsabilité de surveiller et de prévenir les dommages, ce qui va à l'encontre des efforts déployés par le ministre du NDIS, Bill Shorten, pour recueillir des informations sur les délinquants.