Human Rights Watch accuse Israël d'avoir commis des crimes de guerre dans les frappes aériennes du port d'Hodeidah au Yémen, qui visaient des installations pétrolières et d'aide vitales.
Human Rights Watch accuse Israël de commettre un crime de guerre avec des frappes aériennes sur le port d'Hodeidah au Yémen en juillet, qui visait des installations pétrolières, une centrale électrique, et a causé des dommages importants aux civils et aux infrastructures. Le port est essentiel pour fournir des vivres et de l'aide à la population yéménite, 70 % de ses importations commerciales et 80 % de l'aide humanitaire transitant par elle. Human Rights Watch affirme que les dommages disproportionnés causés aux civils et aux biens de caractère civil pourraient constituer des crimes de guerre, et que l'armée israélienne n'a pas encore formulé d'observations sur ces allégations.