L'avocat met en garde contre l'utilisation excessive du droit criminel pour les discours haineux en ligne, car la Loi canadienne sur les méfaits en ligne accroît les peines pour les infractions liées à la haine.
Un avocat de la British Columbia Civil Liberties Association rappelle au public que le comportement en ligne implique des personnes réelles, car la police développe une expertise dans l'identification des personnes affichant des contenus haineux sur les médias sociaux. Bien que les accusations pour les activités offensives des médias sociaux soient rares, elles peuvent entraîner des accusations pour les actions en ligne des individus. À mesure que le paysage juridique entourant les crimes haineux en ligne évolue au Canada, la Loi sur les méfaits en ligne du gouvernement fédéral vise à accroître les peines pour les infractions liées à la haine et à donner aux juges le pouvoir de restreindre les mouvements en se fondant sur des preuves de crimes haineux potentiels. L'avocat met en garde contre l'utilisation du droit pénal pour des propos socialement problématiques sans préjudice réel causé.