L'étude de l'Université de Stockholm sur l'eau naturelle révèle que les risques mondiaux de pénurie d'eau sont sous-estimés, car l'évaluation des conditions environnementales en amont augmente le risque de près de 50 %.

Une étude de l'Université de Stockholm publiée dans Nature Water révèle que les risques mondiaux de pénurie d'eau sont sous-estimés en se concentrant uniquement sur les précipitations locales. En analysant 379 bassins hydrologiques, les chercheurs ont constaté que l'évaluation des conditions environnementales en amont du vent a des répercussions importantes sur la disponibilité de l'eau, augmentant le risque de près de 50 %. Cela souligne la nécessité d'une coopération internationale dans la gestion des ressources en eau, car les changements dans l'utilisation des terres peuvent affecter la sécurité de l'eau au-delà des frontières.

September 02, 2024
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