La Nouvelle-Zélande modifie la législation sur les gangs, ce qui suscite des préoccupations au sujet de l'accès abusif à la législation et des violations des droits de l'homme.
Les amendements de dernière minute apportés par la Nouvelle-Zélande à sa législation sur les gangs ont suscité des préoccupations au sujet d'une éventuelle atteinte à la législation et de violations des droits de l'homme. Les changements visent à faire de l'appartenance à un gang un facteur aggravant dans la détermination de la peine, à criminaliser l'affichage public d'insignes de gangs et à permettre à la police de disperser les membres de gangs. Les critiques font valoir que les amendements, présentés sans débat, peuvent violer la Charte des droits du pays et entraver l'application effective des lois, ce qui soulève des inquiétudes au sujet des droits individuels.