Les informations génétiques rares sur les plantes et les animaux engendrent des profits pharmaceutiques, ce qui soulève des préoccupations en matière de biopiraterie avant la COP16 de la conférence des Nations unies sur la biodiversité.

Un article récent souligne le potentiel de l'information génétique provenant de plantes et d'animaux rares pour générer des profits dans les industries pharmaceutiques et biotechnologiques, ce qui soulève des préoccupations éthiques quant à la propriété et à la compensation. Comme le séquençage rapide de l'ADN complique les accords existants, la question de la biopiraterie émerge, les entreprises profitant sans compenser les pays sources. La prochaine conférence des Nations unies sur la biodiversité, COP16, vise à mettre en place des mécanismes de compensation équitables pour ceux qui préservent la biodiversité, en particulier les communautés autochtones.

October 15, 2024
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