L'étude de Harvard Medical School montre que le phtalate de benzyl butyle dans les plastiques peut endommager l'ADN dans les cellules sexuelles, entraînant des problèmes de reproduction.

Une étude de la Harvard Medical School révèle que le phtalate de benzyl butyl (BBP), généralement présent dans les plastiques, peut endommager l'ADN dans les cellules sexuelles, ce qui entraîne des problèmes de reproduction. La recherche, publiée dans PLOS Genetics, a démontré que le BBP provoque des ruptures de brins d'ADN et un stress oxydatif chez le nématode C. elegans, qui reflète des effets similaires chez les mammifères. Les résultats mettent en évidence les risques potentiels pour la santé génésique humaine et soulignent la nécessité d'une réglementation plus stricte des phtalates.

October 24, 2024
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