L'étude du NIH révèle une variante du gène APOL1 liée à un risque accru de maladies rénales en Afrique de l'Ouest.
Une étude récente des NIH a identifié un facteur de risque génétique important pour les maladies rénales en Afrique de l'Ouest, révélant que près d'un tiers des individus au Ghana et au Nigéria portent la variante du gène APOL1. Cette variante augmente le risque de maladie rénale chronique, une variante augmentant le risque de 18 % et deux de 25 %. Les résultats soulignent l'importance d'étudier diverses populations afin d'améliorer la compréhension et le traitement des maladies rénales, qui pourraient également bénéficier aux Américains.
October 28, 2024
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