L'étude révèle que les brûlages prévus ont empiré les feux de brousse australiens de 2019 à 2020, augmentant ainsi la mortalité des espèces sauvages.
Une étude majeure sur les feux de brousse d'été noirs 2019-2020 de l'Australie montre que les incinérations prévues ont aggravé l'impact, entraînant une augmentation des morts de plantes et d'animaux. L'étude a permis d'analyser 810 000 mentions de plus de 2 000 espèces, et de constater que les récentes brûlures ont accru les dommages causés par les incendies, surtout chez les mammifères, qui ont subi les plus grandes pertes mais ont également été les plus grandes récupérations. Les recherches suggèrent que de fréquents brûlages planifiés peuvent créer des écosystèmes pour des impacts plus graves et exigent une réévaluation des stratégies de gestion des incendies, en mettant l'accent sur la suppression rapide des incendies.