Lahore, au Pakistan, est confrontée à une grave pollution atmosphérique, avec plus de 1 500 QAI, ce qui entraîne des urgences sanitaires et des fermetures d'écoles.
Le Pakistan est aux prises avec une forte pollution atmosphérique, en particulier à Lahore, où l'indice de qualité de l'air (AQI) a dépassé 1 500, ce qui est bien supérieur aux niveaux de sécurité. La province du Pendjab a déclaré une urgence sanitaire et prolongé la fermeture des écoles jusqu'au 24 novembre. Le gouvernement envisage un huis clos de trois jours et a interdit la construction et déplacé les universités en ligne. Malgré des mesures telles que l'interdiction des tuks et des barbecues, les experts en environnement estiment que ces mesures sont insuffisantes pour lutter contre la crise du smog, qui est liée aux émissions de combustibles de faible qualité, aux pratiques industrielles et à la combustion de chaumes agricoles. Le smog a entraîné des urgences sanitaires, avec une augmentation des problèmes respiratoires, en particulier chez les enfants.