L'étude révèle que les cellules graisseuses conservent une « mémoire » d'obésité, ce qui complique le maintien du poids après la perte.

Une nouvelle étude dans la nature révèle que les tissus gras conservent une « mémoire » de l'obésité, même après la perte de poids, ce qui rend plus difficile de maintenir un poids sain. Les chercheurs ont constaté des changements durables dans l'activité génique et les processus métaboliques des cellules adipeuses chez les humains et les souris, ce qui pourrait expliquer l'effet «yo-yo» commun. L'étude suggère que ces modifications épigénétiques persistantes dans les cellules adipeuses pourraient aider à éclairer les stratégies futures de gestion du poids.

November 18, 2024
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