L'étude révèle des doubles de produits chimiques nocifs de l'APFO dans l'environnement, et elle incite à mener des recherches plus vastes sur des milliers de produits chimiques similaires du SPAF.
Des chercheurs de l'UNSW Sydney ont constaté que l'APFO, un produit chimique lié au cancer, double au fil du temps la concentration dans l'environnement, soulignant la nécessité de poursuivre la recherche sur des milliers de produits chimiques connexes. Les PFAS, présents dans les produits ménagers et les mousses de lutte contre les incendies, ne se décomposent pas facilement. L'Australie ne surveille que trois des 14 000 produits chimiques du SPAF, tandis que les États-Unis ont fixé des limites plus strictes pour l'APFO dans l'eau potable. Le gouvernement australien met à jour ses lignes directrices et finance la recherche afin de mieux comprendre les impacts sur la santé et d'élaborer des méthodes pour décomposer le SPAF.