Les groupes nigérians demandent un financement accru et une participation accrue des dirigeants à la lutte contre la violence sexiste, alors que la loi abroge les craintes.

Les groupes de défense nigérians et ONU Femmes demandent un financement et une participation accrus des chefs traditionnels et religieux pour lutter contre la violence sexuelle et sexiste. Ils veulent au moins 0,5 % des recettes fiscales nationales consacrées à la sensibilisation et à l'application. L'abrogation proposée de la loi sur l'interdiction de la violence contre les personnes a suscité des préoccupations quant à la possibilité de compromettre les progrès réalisés dans la protection des femmes et des filles. La violence sexiste touche 30 % des femmes et des filles au Nigéria, ce qui entraîne des pertes économiques importantes.

Il y a 4 mois
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