Les policiers kényans en poste en Haïti ont cessé de payer, les mauvaises conditions, mais ils continuent de servir.
Près de 20 policiers kényans en poste en Haïti dans le cadre d'une force antigang soutenue par l'ONU ont présenté des lettres de démission en raison de retards de paiement et de mauvaises conditions. Malgré ces problèmes, ils continuent de servir. La force vise à inclure 2 500 membres du personnel d'une dizaine de pays, bien que les effectifs et les financements continuent de manquer. La violence des gangs en Haïti continue de s'intensifier, soulignant la nécessité d'un soutien accru.
Il y a 4 mois
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