Le rapport d'Amnesty critique les principaux fabricants d'EV pour les violations des droits humains dans leurs chaînes d'approvisionnement.
Le nouveau rapport d'Amnesty International met en lumière les graves violations des droits de l'homme dans les chaînes d'approvisionnement des principaux constructeurs de véhicules électriques tels que BYD, Mitsubishi et Hyundai. Les entreprises ont mal noté pour manque de transparence dans leurs chaînes d'approvisionnement et leurs pratiques en matière de droits de l'homme. Amnesty demande une meilleure diligence raisonnable en matière de droits de l'homme, en particulier en ce qui concerne l'approvisionnement en minéraux comme le cobalt, le nickel et le lithium, qui conduisent souvent à des abus tels que le travail des enfants et des problèmes de santé liés à la pollution dans les communautés minières.