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L'optimisation des arrivées de navires dans les ports encombrés pourrait réduire les émissions de 25 %, selon les résultats de l'étude.
Une nouvelle étude de l'University College London et de l'Université du Massachusetts Amherst montre que l'optimisation des arrivées de navires dans les ports, compte tenu de facteurs comme la congestion, pourrait réduire les émissions de voyage de 25 % pour certains types de navires.
Les recherches ont permis de constater des économies d'émissions moyennes d'environ 10 % pour les navires-conteneurs et les vraquiers secs, de 16 % pour les transporteurs de gaz et les pétroliers et de 25 % pour les pétroliers chimiques.
Les navires passent environ 4 à 6 % de leur temps à attendre à l'ancre à l'extérieur des ports, chiffre qui a augmenté en raison des hausses de trafic postpandémiques et de la congestion des ports.
L'étude suggère que les règlements devraient tenir compte de l'ensemble du voyage pour encourager les réductions des émissions.
Optimizing ship arrivals at congested ports could cut emissions by up to 25%, study finds.