Nelson Chamisa, chef du Zimbabwe, critique les conseillers du parti pour avoir rejeté un plan de transparence, citant une loi protectrice.
Nelson Chamisa, ancien chef de la Coalition des citoyens pour le changement, affirme que les conseillers du parti ont rejeté un plan de transparence et de responsabilité destiné à lutter contre la corruption dans les autorités locales. Chamisa soutient que la loi sur les conseils urbains entrave les efforts visant à tenir les conseillers responsables, ce qui leur permet d'éviter toute surveillance. Malgré la tentative de son parti de créer un « comité d'intégrité et de responsabilité », les conseillers ont refusé, citant l'acte comme un bouclier protecteur. Cela met en lumière les défis actuels en matière d'amélioration de la transparence et de la responsabilisation dans la gouvernance locale du Zimbabwe.