Les poursuites intentées par les détenus en vertu du huitième amendement gagnent moins de 1 % du temps, comme le montre une nouvelle analyse.
L'analyse de Business Insider sur près de 1 500 procès de prisonniers a révélé que les protections prévues par le huitième amendement, qui protège contre les peines cruelles et inhabituelles, ont considérablement affaibli. Les cas de détenus règlent un tiers aussi souvent que les procès civils de non-détenus et gagnent moins de 1% du temps. La loi de 1996 sur la réforme du contentieux pénitentiaire a joué un rôle clé dans ce déclin, ce qui a rendu plus difficile pour les détenus de déposer et de gagner des poursuites.
Il y a 3 mois
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