La grave condamnation du chef religieux zimbabwéen suscite l'indignation à l'égard des allégations de profanation de lieux de repos.
La tombe du chef religieux zimbabwéen Madzibaba Nzira, condamné pour des délits sexuels, continue de susciter la controverse 14 ans après sa mort. Sa tombe, élaborée et clôturée, a outragé les familles voisines qui l'accusent de profaner les lieux de repos de leurs proches. La famille de Nzira insiste pour qu'elle achète le terrain à l'avance et construit la clôture pour protéger le site des étrangers. Le différend met en lumière l'impact du statut social et de la tradition au Zimbabwe.
Il y a 2 mois
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