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Le programme de rachat d'armes au Canada, critiqué pour des motifs électoraux, est lancé au Cap-Breton malgré l'opposition provinciale et policière.
Le ministre de la Sécurité publique, Gary Anandasangaree, a reconnu avoir fait des remarques « erronées » dans un enregistrement audio divulgué où il a discuté du programme fédéral de rachat d'armes, révélant que ce programme a été influencé par la pression électorale du Québec malgré l'opposition des provinces, de la police et des propriétaires d'armes.
La conversation de 20 minutes, confirmée authentique par la source de l’enregistrement, comprenait des promesses de couvrir les déficits d’indemnisation et de caution en cas de non-conformité, bien qu’Anandasangaree ait souligné que l’application de la loi n’irait pas aussi loin.
Le programme, qui a atteint un plafond de 742 millions de dollars, est lancé avec un pilote au Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse, qui fait face à la résistance de la police de l'Alberta, de la Saskatchewan et de l'Ontario.
Anandasangaree a défendu cette initiative comme une promesse de campagne pour réduire la criminalité par armes à feu, en mettant l'accent sur la sécurité publique, tandis que le Cabinet du Premier ministre a refusé de commenter.
Canada’s gun buyback program, criticized for electoral motives, launches in Cape Breton despite provincial and police opposition.