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Quatre personnes sont jugées à Athènes pour le scandale des logiciels espions Predator en Grèce, accusées d'avoir illégalement visé 87 personnes de premier plan.
Un procès à Athènes a commencé sur le scandale des logiciels espions Predator en Grèce, avec quatre individus — deux Israéliens et deux Grecs — accusés de marketing illégal de logiciels de surveillance utilisés pour cibler au moins 87 personnalités de premier plan, dont des ministres, des dirigeants militaires et des journalistes.
L'affaire, qui découle des révélations de 2022, a fait état de préoccupations généralisées concernant la protection de la vie privée numérique, la surréalisation du gouvernement et la responsabilité institutionnelle.
Bien que le gouvernement nie toute implication, alléguant que l'utilisation des logiciels espions était illégale et sans rapport avec les agences d'État, les critiques soutiennent que le chevauchement des cibles suggère une surveillance coordonnée.
La Cour suprême grecque n'a pas trouvé de lien clair entre le gouvernement et le spyware, mais des organismes internationaux comme le Parlement européen ont critiqué le manque de transparence et de coopération de la Grèce.
Le procès, qui a porté sur des milliers de documents, pourrait durer des mois, avec des poursuites civiles engagées par des victimes et des débats en cours sur les lois de surveillance et le contrôle démocratique.
Four people stand trial in Athens over Greece's Predator spyware scandal, accused of illegally targeting 87 high-profile individuals.