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Le Bureau des prisons met fin aux droits syndicaux de 35 000 travailleurs, en invoquant les besoins de réforme, malgré les avertissements syndicaux sur les risques de sécurité et de dotation en personnel.
Le Bureau fédéral des prisons met fin à sa convention collective avec le Conseil des locaux pénitentiaires, supprimant les protections syndicales pour environ 35 000 employés, invoquant la nécessité d'améliorer la sécurité, le moral et l'efficacité.
Cette mesure, alignée sur un décret de mars exemptant certains organismes fédéraux des syndicats, vise à éliminer ce que les fonctionnaires appellent des obstacles à la réforme.
Les dirigeants syndicaux mettent en garde contre cette décision, qui menace la sécurité des travailleurs et les moyens de subsistance, alors que des problèmes continuent de se poser, comme un manque de personnel grave, un retard de réparation de 3 milliards de dollars et des conditions dangereuses dans les installations.
Bien que les protections de la fonction publique fédérale – comme la sécurité de l'emploi, le respect des procédures et la garantie de la rémunération et des avantages sociaux – demeurent en place, les employés ne seront plus représentés par un syndicat en matière de milieu de travail.
Le Bureau, qui gère 122 établissements et supervise plus de 155 000 détenus, a été soumis à un examen attentif des défaillances systémiques, notamment les abus sexuels, les fautes commises par des employés, la contrebande et les évasions.
Les travailleurs continuent de faire face à des risques extrêmes, notamment la violence et l'exposition à des substances létales.
The Bureau of Prisons is ending union rights for 35,000 workers, citing reform needs, despite union warnings about safety and staffing risks.