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Les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Australie ont étendu leurs expulsions massives en 2024-2025, ciblant des non-criminels et portant atteinte aux droits d'asile.
En 2024 et 2025, les États-Unis, l'Australie et le Royaume-Uni ont élargi leurs politiques d'expulsion et de détention, les États-Unis faisant appel à des bases militaires et à des accords avec 58 pays pour expulser des non-ressortissants, y compris ceux qui n'ont pas de casier judiciaire.
Le gouvernement travailliste australien a signé un accord de 2,5 milliards de dollars avec Nauru pour accueillir les déportés, tandis que le Royaume-Uni, malgré les promesses de mettre fin au plan rwandais, a expulsé près de 35 000 personnes – 25 % de plus que l'année précédente – et proposé des centres de retour dans des pays tiers.
Des tendances similaires se dessinent en Europe, où l'UE envisage d'expulser les demandeurs d'asile vers des pays sans liens préalables.
Ces actions reflètent un changement mondial vers la criminalisation de l'immigration, l'érosion de la procédure régulière et la normalisation des expulsions massives, motivées par des décennies de frontières sécurisées et de police racialisée, ce qui a amené les experts à mettre en garde contre la "mort de l'asile".
U.S., UK, and Australia expanded mass deportations in 2024–2025, targeting non-criminals and undermining asylum rights.