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La Nouvelle-Zélande propose de reclasser jusqu'à 60 % des terres de conservation pour favoriser la croissance économique, ce qui suscite un débat sur les risques liés à la biodiversité et la nécessité d'une prise de décisions fondée sur des données scientifiques et inclusives.
La Nouvelle-Zélande propose de réformer ses terres protégées, en reclassant jusqu'à 60 % des zones de conservation pour stimuler la croissance économique, tout en préservant les parcs nationaux et les sites du patrimoine mondial.
Ces changements visent à remplacer la « conservation des forteresses » dépassée par une planification fondée sur la science, en comblant les lacunes dans la protection des écosystèmes des basses terres, des zones côtières et des terres arides.
Les critiques mettent en garde contre les réformes accélérées et l'élargissement du pouvoir ministériel qui risquent de perdre la biodiversité sans hiérarchiser les priorités écologiques.
Pour s'aligner sur le Cadre mondial de la biodiversité de Kunming-Montréal, les experts demandent instamment que des forums publics ouverts à tous, impliquant des scientifiques et des Maoris iwi, orientent les décisions sur les activités économiques, en veillant à ce que la conservation et le développement soient équilibrés par des processus transparents et fondés sur des données probantes.
New Zealand proposes reclassifying up to 60% of conservation lands for economic growth, sparking debate over biodiversity risks and the need for science-based, inclusive decision-making.