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Le chef de la lutte contre la corruption de l'Australie est soumis à un examen attentif des conflits liés à ses liens militaires et de défense, ce qui incite à se récuser.
Le chef de la Commission nationale anticorruption de l'Australie, Paul Brereton, est soumis à un examen attentif de deux plaintes non réglées concernant des conflits d'intérêts liés à son rôle militaire antérieur et à ses liens de défense.
Malgré les déclarations de conflit, il a été conseillé de se récuser de toutes les questions liées à la défense en raison de préoccupations concernant la perception et les distractions du public.
Le chien de garde de la Commission a signalé 75 plaintes en 2024/25 (contre 50 en 2015) concernant des décisions de ne pas enquêter sur les renvois, dont quatre concernant Brereton, une résolue et une rejetée, deux toujours en cours d'examen.
Les renvois de la défense ne représentent que 3 % des cas, qui peuvent être traités par des sous-commissaires.
Le sénateur indépendant David Pocock a exhorté Brereton à s'écarter.
Au 5 novembre, la commission gérait 38 enquêtes actives, 32 enquêtes préliminaires, 11 enquêtes conjointes et trois affaires en cour.
Australia’s anti-corruption chief faces scrutiny over conflicts linked to his military and defence ties, prompting calls to recuse himself.