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Le Japon vise à relancer son industrie des semi-conducteurs avec Rapidus, ciblant la production de 2nm de puces d'ici 2027, malgré les lacunes de financement et d'expertise.
Le Japon fait avancer sa proposition de devenir un producteur de semi-conducteurs de premier plan par l'intermédiaire de Rapidus, une entreprise soutenue par le gouvernement avec le soutien de Toyota, Sony et SoftBank, et une alliance clé avec IBM.
L'entreprise vise à produire en masse des puces de 2nm d'ici 2027, ayant déjà construit un prototype à l'aide d'équipements de lithographie de l'UEV ASML, faisant du Japon l'un des rares pays à y parvenir.
L'usine de Chitose, Hokkaido, conçue pour un faible impact environnemental et une infrastructure stable, fait partie d'une poussée nationale de 65 milliards de dollars lancée à la fin de 2024 pour relancer l'industrie.
Malgré un financement direct de 12 milliards de dollars et des investissements plus importants, les experts mettent en garde contre les 31,8 milliards de dollars nécessaires à la production à grande échelle.
Le Japon, qui a fait plus de la moitié des jetons du monde, mais produit maintenant moins de 11 %, est confronté à des obstacles, notamment un manque d'expérience de fabrication haut de gamme, la difficulté d'obtenir l'expertise technique de leaders comme TSMC et Samsung, et une pénurie prévue de 40 000 ingénieurs qualifiés.
Le pays s'associe avec les universités et attire des entreprises mondiales comme la TSMC et Kioxia pour renforcer son écosystème, animé par des préoccupations de sécurité nationale et une demande croissante.
Japan aims to revive its semiconductor industry with Rapidus, targeting 2nm chip production by 2027 despite funding and expertise gaps.