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Le nouveau projet de loi sur le travail de la Nouvelle-Zélande porte le seuil de licenciement à 200 000 $, redéfinit le revenu et affaiblit les protections des travailleurs, suscitant des critiques.
Le projet de loi portant modification de la loi sur les relations de travail de la Nouvelle-Zélande, appuyé par le gouvernement après un rapport de la commission spéciale, propose des modifications majeures à la législation du travail, notamment en portant à 200 000 dollars le seuil de revenu pour les demandes de licenciement injuste et en élargissant la définition du revenu pour y inclure les primes et les régimes d'actions.
Il permet de préciser le critère de la passerelle pour le statut d'entrepreneur, en particulier pour les travaux sur plateforme, et permet aux entreprises de désigner des travailleurs comme non-employés, même si elles ne sont pas officiellement classées comme tels.
Le projet de loi vise à accroître la flexibilité du marché du travail et à réduire les coûts de conformité, mais les critiques mettent en garde contre la protection des travailleurs en affaiblissant le système de règlement des griefs personnels, en éliminant la sécurité d'emploi automatique de 30 jours et en réduisant les recours pour les travailleurs à haut salaire.
Le gouvernement prévoit de faire avancer le projet de loi au début de 2026.
New Zealand's new labor bill raises dismissal claim threshold to $200K, redefines income, and weakens worker protections, sparking criticism.