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Une loi de la Nouvelle-Galles du Sud qui permet au gouvernement de faire témoigner, même avec arrestation, est contestée au sujet de préoccupations qui portent atteinte à l'indépendance de la justice.
Une loi de la Nouvelle-Galles du Sud de 120 ans permettant au gouvernement de contraindre les commissions parlementaires à témoigner, y compris par mandat d'arrêt, est contestée devant la Cour d'appel de la Nouvelle-Galles du Sud.
L'affaire concerne James Cullen, chef de cabinet du premier ministre Chris Minns, qui a été convoqué pour avoir divulgué des minutes d'une réunion du comité sur la vente du cours de course de Rosehill et qui a refusé de comparaître, ce qui a entraîné la suspension d'un mandat d'arrêt.
Les avocats de Cullen soutiennent que la loi sape l'indépendance judiciaire en obligeant les juges à approuver les mandats fondés uniquement sur des certificats exécutifs sans examen, ce qui en fait des outils de pouvoir politique.
Le gouvernement et son avocat défendent la loi comme essentielle à la responsabilité démocratique, affirmant que les tribunaux ne peuvent pas examiner les procédures parlementaires.
Le procureur général de la Nouvelle-Galles du Sud, Michael Daley, soutient le défi, invoquant le manque de contrôle judiciaire significatif de la loi.
L'audience se poursuit, et le résultat pourrait affecter l'équilibre entre le pouvoir exécutif et l'indépendance judiciaire en Nouvelle-Galles du Sud.
A NSW law letting the government force testimony, even with arrest, is being challenged over concerns it undermines judicial independence.