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Brereton, chef australien des crimes de guerre, défend des consultations limitées et non rémunérées en matière de défense, dans le cadre de plaintes de conflit d'intérêts.
Paul Brereton, chef australien de la lutte contre la corruption, a défendu des consultations limitées et non rémunérées avec l'inspecteur général des Forces de défense lors de son enquête sur les crimes de guerre en Afghanistan, les appelant nécessaires et modestes.
Il a reconnu que le public avait la perception d'un conflit, mais a maintenu que ses actes étaient raisonnables et qu'il s'était récusé des questions de défense.
Près de 90 plaintes concernant des conflits potentiels ont été déposées depuis le 1er juillet, ce qui a entraîné une longue enquête de l'inspecteur Gail Furness, de la NACC, qui a cité une poussée liée à la couverture médiatique.
Brereton a résisté aux appels à davantage de divulgation, à l'avertissement des risques pour l'intégrité de l'enquête et a suggéré que certains plaignants pourraient avoir des motifs ultérieurs, bien qu'il n'ait pas présenté de preuve.
La sous-commissaire Nicole Rose a appuyé une récusation complète en raison de préoccupations de confiance du public.
Brereton a classé la commission dans les deux premières années comme un sept sur dix.
Australian war crimes chief Brereton defends limited, unpaid defence consultations amid conflict-of-interest complaints.