Des chercheurs de la Virginia Commonwealth University développent un test de détection des nanopores basé sur l'urine pour la détection précoce du cancer de l'ovaire à l'aide de milliers de marqueurs peptidiques.
Un nouveau test urinaire pour le cancer de l’ovaire pourrait aider à détecter la maladie à un stade précoce. Des chercheurs de la Virginia Commonwealth University ont découvert que des milliers de petites molécules, appelées peptides, sont présentes dans l'urine des personnes atteintes d'un cancer de l'ovaire. Cependant, les méthodes de détection existantes ne sont ni simples ni rentables. Pour résoudre ce problème, l’équipe s’est tournée vers la détection des nanopores, qui a le potentiel de détecter simultanément plusieurs peptides. Cette technique consiste à faire passer des molécules à travers un minuscule pore et à mesurer les changements de courant électrique ou d’autres propriétés au fur et à mesure de leur passage.