L'étude révèle deux facteurs génétiques non héréditaires influant sur le rapport de sexe humain 1:1 par la distribution des chromosomes X et Y.
Une étude menée par des chercheurs de l'Université du Michigan, Siliang Song et Jianzhi Zhang, étudie le rapport humain de sexe 1:1, en identifiant deux variantes génétiques qui l'affectent et qui ne sont pas héritées. Contrairement à de nombreux animaux avec des ratios biaisés, les humains maintiennent cet équilibre par la distribution des chromosomes X et Y dans les spermatozoïdes et les oeufs. Les résultats suggèrent que les mécanismes évolutifs et statistiques, ainsi que la monogamie humaine, contribuent à cet équilibre, malgré une grande variabilité génétique.
Il y a 5 mois
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