La loi de 2018 sur la protection des victimes autorise 10 jours de congé payé en cas de violence domestique, mais Shine exhorte les employeurs à cesser d'exiger des preuves.

Le service spécialisé en violence familiale Shine exhorte les employeurs à cesser d'exiger une preuve de violence domestique pour accéder au congé pour violence domestique, conformément à la loi de 2018 sur la protection des victimes prévoyant 10 jours de congé DV payé par an. Mira Taitz, responsable DVFREE de Shine, déclare que demander des preuves n'est pas sûr car les victimes manquent souvent de preuves matérielles. Le faible recours à ce congé indique la nécessité de réduire les obstacles à l’obtention d’une aide.

Il y a 12 mois
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