Le gouvernement italien avance une loi, appelée « anti-Gandhi », pour sanctionner les blocages routiers pendant les manifestations, visant l'activisme climatique, avec des critiques affirmant qu'il supprime la dissidence et limite la désobéissance civile.
Le gouvernement italien, dirigé par le Premier ministre Giorgia Meloni, fait avancer une loi controversée sur la sécurité, surnommée la loi "anti-Gandhi", qui pourrait imposer jusqu'à deux ans de prison pour les blocages de la route pendant les manifestations, en particulier en ciblant l'activisme climatique. Les critiques soutiennent que la loi vise à supprimer la dissidence et à limiter la désobéissance civile, tandis que les promoteurs affirment qu'elle est nécessaire pour l'ordre public. La loi propose également de lever les mesures de protection contre l'emprisonnement des femmes enceintes.
October 05, 2024
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