Les abus financiers ont des répercussions sur un Néo-Zélandais sur sept, et les défenseurs plaident pour la reconnaissance et la protection juridiques.
La violence financière familiale touche un Néo-Zélandais sur sept, ce qui implique des tactiques telles que la dissimulation d'informations financières et des notations de crédit préjudiciables. Malgré cette prévalence, les lois néo-zélandaises n'ont pas pris le pas pour protéger les victimes, qui sont confrontées à des conséquences financières et émotionnelles à long terme. Les avocats exhortent le gouvernement à mettre à jour la Loi sur la violence familiale afin de reconnaître les abus économiques comme une forme distincte de violence.
November 20, 2024
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